Cette suspension des activités médicales intervient alors qu'une épidémie mortelle de choléra sévit dans la région. MSF ne pourra reprendre ses opérations que lorsque toutes les parties auront fourni des garanties de sécurité claires pour protéger le personnel et les patients.

Cette décision fait suite à l’enlèvement d’un membre de notre équipe, survenu seulement quatre jours après l’enlèvement d’un collaborateur du ministère de la Santé à bord d’une ambulance MSF, sur la même route et au même endroit. Heureusement, notre collègue a été libéré quelques heures plus tard.

Une nuit terrifiante et tragique à Kiev, en Ukraine, une ville de plus de 3 millions d'habitants, dont des familles déplacées des régions frontalières et des territoires occupés. Elle abrite également les équipes de MSF et deux de nos bureaux de coordination qui soutiennent nos activités dans tout le pays.

Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne ont, une fois de plus, refusé de prendre des mesures concrètes pour mettre fin à la destruction délibérée et systématique des vies palestiniennes à Gaza, se rendant ainsi complices du génocide perpétré par les autorités israéliennes.

L’enquête confirme que l’attaque constituait un assassinat ciblé et délibéré de trois membres MSF clairement identifiés: María Hernández Matas, Tedros Gebremariam Gebremichael et Yohannes Halefom Reda. MSF rend cette enquête publique par devoir moral, mais aussi pour exiger la protection des travailleurs humanitaires et des structures médicales.